
Même si je ne partage pas tout ce qu'il dit et fait, je dois au groupe Takriz beaucoup de choses. Pionnier de la cyberdissidence en Tunisie, il était aussi le premier à subir la censure sous le dictateur, maintenant il la subit sous la dictature provisoire (qui dure). J'ai maintes fois voulu écrire à propos de ce groupe dont le modus operandi m'intrigue et le positionnement idéologique est digne d'une étude approfondie en sociologie ou en sémiologie. Je le ferais un jour peut-être, mais en attendant, je suis solidaire avec Takriz et je dis: TAKRIZO ERGO SUM!
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