Marzouki
dit aux officiels français qu'ils n'ont plus à faire à des malfrats en parlant
de l'ancien régime tunisien. Je veux bien le croire, mais ces malfrats ont
laissé la place à, tenez-vous bien, un terroriste à la tête du gouvernement, spécialiste
en explosifs et sujet à des hallucinations auditives (il qualifie son propre
discours de divin), un schizophrène comme ministre de l'enseignement supérieur,
un salafiste ministre des affaires religieuses, un fasciste ministre des
affaires étrangères qui de surcroît est le gendre du théologien et chef du
parti de dieu, etc.
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